Factory Health Club - Bande Séparative Abonnement

MULTIVITAMINES – Un indispensable

22.90 Taxe inclue

 

  • Un indispensable à prendre à l’année pour les sportifs et les personnes actives
  • 21 nutriments bioactifs dont 12 vitamines et 5 minéraux (Iode, chrome, sélénium, Zinc, Mg)
  • Complexe Zinc Magnésium B6 : action en synergie des co-facteurs du Magnesium
  • Co-facteurs végétaux : caroténoïdes (Betacarotène, Lutéine), Q10, Quercétine
  • Présence d’ingrédients brevetés (Vitamines B9, E) & de Vitamine D3 : 1000UI
  • En vente seulement pour le retrait sur place

 

 

2 en stock

  • Utilisation
  • Composition
  • Précaution
  • Références scientifiques
  • Certificats
  • Description

DOSAGE & PRÉPARATION

Prendre 2 gélules par jour à boire avec un verre d’eau.

CONSEILS D’UTILISATION

Le multivitamines NUTRIPURE contient plusieurs vitamines et minéraux. Lorsqu’une nouvelle journée commence, commencez également par faire le plein de vitamines.
En prenant les 2 gélules le matin, vous lissez également votre apport de magnésium, en synergie avec les apports du midi et du soir du Magnésium Taurine B6.
Complémentaire du Magnésium, des Omega 3, de la glycine, et du Peptan.

A PRENDRE DE PRÉFÉRENCE

  • Le matin au petit déjeuner

INFORMATIONS NUTRITIONNELLES

Certains apports en vitamines ou minéraux peuvent représenter plus de 100% des Apports Journaliers Recommandés (AJR).

Nos formulations sont basées sur les dernières recherches scientifiques. Elles sont plus récentes que la dernière mise à jour des AJR. De plus, nos formules sont déposés auprès de la Direction de la Protection des Populations où elles ont été auditées puis acceptées avec ces apports.

Les formules ainsi proposées sont évidemment sans danger pour votre santé et sans risque de surdosage même dans le cas d’une utilisation à l’année.

COMPOSITION

Bisglycinate de magnésium, acide L-ascorbique (vitamine C), gélule végétale (agent d’enrobage : pullulane), acide alpha lipoïque, lutéine issue de fleur de rose d’inde (Tagetes erecta), farine de coco, quercétine, citrate de zinc, Coenzyme Q10 (ubiquinone), mélange de tocophérols (vitamine E), nicotinamide (vitamine B3), bêta-carotène (vitamine A), cholécalciférol (vitamine D), D-pantothénate de calcium (vitamine B5), Méthylcobalamine (vitamine B12), chlorhydrate de thiamine (vitamine B1), chlorhydrate de pyridoxine (vitamine B6), riboflavine (vitamine B2), méthylfolate de calcium (vitamine B9), picolinate de chrome, Biotine (vitamine B8), Iodure de potassium, Sélénate de sodium

INDICATIONS

Complément alimentaire à base de vitamines, minéraux, acide alpha lipoïque, Quercétine, Coenzyme Q10 et extraits de roses d’inde titrée en lutéine.

Informations nutritionnelles Quantité par dose journalière (2 gélules) % AJR
Magnésium 125 mg 33
Zinc 15 mg 150
Chrome 25 µg 62
Iode 75 µg 50
Selenium 33 µg 59
Bêta-carotène 1 mg /
Dont Vitamine A 167 µg 21
Vitamine E 12 mg 100
Vitamine C 200 mg 250
Vitamine D 25 µg 500
Vitamine B1 2 mg 182
Vitamine B2 1,80 mg 129
Vitamine B3 18 mg 113
Vitamine B5 8 mg 133
Vitamine B6 2 mg 143
Vitamine B8 150 µg 300
Vitamine B9 200 µg 100
Vitamine B12 5 µg 200
Acide alpha lipoïque 100 mg /
Quercétine 50 mg /
Coenzyme Q10 32 mg /
Extrait de fleur de rose d’inde 67,5 mg /
Dont Lutéine 13,5 mg /

*Valeurs indicatives

Transparence :

Origine Multi

CONTRE INDICATION

Les femmes enceintes ou allaitantes sont invitées à prendre l’attache d’un professionnel de santé avant toute supplémentation.

L’emploi chez l’enfant est déconseillé.

L’emploi chez le fumeur est déconseillé.

L’emploi chez les personnes diabétiques est déconseillé.

L’emploi chez les personnes ayant des troubles thyroïdiens est déconseillé.

AVERTISSEMENT

Les compléments alimentaires doivent être utilisés dans le cadre d’un mode de vie sain et ne pas être utilisés comme substituts d’un régime alimentaire varié et équilibré. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Tenir hors de la portée des jeunes enfants.

 

INFORMATIONS NUTRITIONNELLES

Certains apports en vitamines ou minéraux peuvent représenter plus de 100% des Apports Journaliers Recommandés (AJR).

Nos formulations sont basées sur les dernières recherches scientifiques. Elles sont plus récentes que la dernière mise à jour des AJR. De plus, nos formules sont déposés auprès de la Direction de la Protection des Populations où elles ont été auditées puis acceptées avec ces apports.

Les formules ainsi proposées sont évidemment sans danger pour votre santé et sans risque de surdosage même dans le cas d’une utilisation à l’année.

UN COMPLEXE ANTI OXYDANT

Le terme d’antioxydant désigne «les molécules qui limitent, préviennent ou suppriment les dommages oxydatifs des cellules causés par des radicaux libres»(1). Les radicaux libres sont produits au cours de divers mécanismes physiologiques dont l’activité physique (2) et participent au fonctionnement de certaines enzymes, à la réponse immunitaire, à la destruction des cellules tumorales… (3) Cependant, leur surproduction peut induire des dommages moléculaires qui accélèrent le vieillissement cellulaire et être impliqués dans diverses pathologies comme les maladies cardio-vasculaires, les maladies dégénératives, le cancer….

Les antioxydants peuvent provenir soit d’une synthèse propre à notre organisme, c’est le cas notamment du glutathion, soit des apports alimentaires, comme c’est le cas des vitamines (C et E), des caroténoïdes (bêta-carotène..), des minéraux (sélénium, zinc) ou des polyphénols (plus de 5 000 variétés)…

Les associations synergiques d’antioxydants tels que le béta-carotène, la vitamine E, la vitamine C, le sélénium et le zinc, plutôt qu’une supplémentation isolée, semblent préférables. La supplémentation à dose modérée améliore à la fois les antioxydants non enzymatiques et l’activité des antioxydants enzymatiques (glutathion peroxydase et superoxyde dismutase) (4).

Zoom sur le β-carotène :

La vitamine A est une vitamine liposoluble indispensable, apportée par l’alimentation. Les formes d’apport de la vitamine A sont le rétinol, l’acétate de rétinol, le palmitate de rétinol et le béta-carotène.
La vitamine A :

  • joue un rôle dans le processus de spécialisation cellulaire
  • contribue au maintien de muqueuses et d’une peau normales en organisant le renouvellement des tissus épithéliaux (peau, muqueuse…)
  • contribue au fonctionnement normal du système immunitaire.
  • contribue au maintien d’une vision saine et favorise l’adaptation de la vision à l’obscurité
  • contribue au métabolisme normal du fer

NUTRIPURE a choisi du β-carotène naturel à faible dose

Du β-carotène plutôt que de la vitamine A :

    • Le β-carotène est le précurseur de la vitamine A (provitamine) et possède l’avantage d’être non toxique alors que la vitamine A peut être dangereuse en particulier chez les femmes enceintes et chez les sujets âgés. Il n’y a pas de risque d’intoxication avec une supplémentation en béta-carotène car la conversion en vitamine A ne s’effectue qu’en fonction des besoins de l’organisme.
    • La β-carotène possède les propriétés de la vitamine A et également une action antioxydante qui lui est propre (5).
    • Du β-carotène naturel : la forme naturelle (forme cis) est plus active que la forme de synthèse (forme trans)(6,7).
    • Du β-carotène a faible dose :

 

  • Les besoins nutritionnels en vitamine A sont globalement couverts dans la population française d’où l’intérêt d’une faible supplémentation.
  • Dans l’état actuel des connaissances, dans certaines conditions le β-carotène à forte dose pourrait devenir pro-oxydant, notamment chez le fumeur. En effet, les études ATBC (8) et CARET (9) rapportent qu’une forte supplémentation en β-carotène à des doses quotidienne de 20-30 mg est associée à une augmentation du cancer du poumon chez des patients exposés à des agents carcinogènes (amiante, tabac).
  • Il est nécessaire de mieux comprendre dans quelles conditions environnementales le béta-carotène se transforme en perturbateur biologique avant d’indiquer une supplémentation à forte dose.

Zoom sur la vitamine E :

La vitamine E est une vitamine liposoluble. Habituellement, le terme générique “vitamine E” était utilisé pour parler d’une grande famille de 8 molécules possédant toutes des propriétés antioxydantes à différents degrés : 4 tocophérols (α, β, γ, δ) et des 4 tocotriénols (α, β, γ, δ).
La vitamine E contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif de par ses propriétés antioxydantes (10).

L’α-tocophérol est une forme très bien étudiée (11) abondante dans le corps humain qui possède une activité biologique importante (12). La forme naturelle de la l’α-tocophérol (RRR-α-tocophérol) possède une biodisponibilité et une activité supérieure à la forme synthétique (13,14), elle serait deux fois plus assimilée dans l’organisme (12). De nombreux éléments tendent à penser que les tocotriénols (15) et la γ-tocophérol (16) ont un comportement bien différent de l’α-tocophérol dans le corps humain avec une activité spécifique qui reste à définir mais il semble qu’une association de tocophérols ait une action synergique (17)

L’ANC en vitamine E est de 12mg/j. L’étude de la consommation de la vitamine E montre que 90% des hommes et 96% des femmes nord-américaines ne consomment pas les apports nutritionnels conseillés, évalués à 12 mg/jour d’α-tocophérol (18).

NUTRIPURE a choisi un mélange de tocophérols naturels (α, β, γ, δ) qui ont une action synergique.

Zoom sur le sélénium

Le sélénium est un oligo élément qui possède différentes propriétés et :

  • contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif notamment en activant certaines cascades enzymatiques et en régénérant d’autres antioxydants. Le sélénium est un constituant majeur des sélénoprotéines et notamment de la glutathion peroxydase, une enzyme majeure impliquée dans la protection contre le stress oxydant
  • contribue à une spermatogénèse normale
  • contribue au fonctionnement normal du système immunitaire.
  • contribue au maintien d’ongles normaux
  • contribue au maintien de cheveux normaux avec notamment un effet sébo-régulateur sur le cuir chevelu.
  • contribue à une fonction thyroïdienne normale (20).

Les apports en sélénium existent sous deux formes, la forme organique obtenue à partir de levures (sélénocystéine, sélénométhionine) et la forme inorganique, comme le sélénate de sodium ou le séléniate de sodium. Une supplémentation en sélénométhionine semble moins efficace qu’une supplémentation en sélénate de sodium pour augmenter l’activité de la glutathion peroxydase. De plus la sélénométhionine, incorporée dans les protéines à la place de la méthionine, serait une source moins disponible que les formes inorganiques (21). L’ANC pour le sélénium a été estimé à 50 μg/jour pour un adulte jeune NUTRIPURE a choisi une forme inorganique de sélénium, du sélénate de sodium, à la dose de 35 μg/jour.

Zoom sur la vitamine C

La vitamine C est un acide organique que l’on trouve naturellement sous forme L-ascorbique. L’organisme humain n’est pas capable de synthétiser de la vitamine C et n’a pas la capacité de la stocker, nécessitant donc des apports alimentaires suffisants et réguliers.

La vitamine C :

    • contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif (22).
    • contribue à réduire la fatigue
    • contribue à la formation normale de collagène pour assurer la fonction normale des gencives, des dents, de la peau, des os, des cartilages et des vaisseaux sanguins. Le collagène est un polypeptide composé en grande partie de proline et de lysine. L’hydroxylation de la proline et de la lysine (hydroxy-proline et hydroxylysine), nécessaire à la formation du collagène, est dépendante de la vitamine C. Le collagène participe à la formation de différents tissus dont les os, les dents, la cornée, les tendons, les ligaments, le cartilage, la peau et les vaisseaux sanguins et aux processus de cicatrisation.
    • contribue à un métabolisme énergétique normal. Elle participe à la synthèse de certaines acides aminés (glutamate, glutamine, proline, serine, glycocolle, tyrosine), des catécholamines, de la L-carnitine impliquée dans le métabolisme des acides gras et à la production d’énergie.
    • contribue à la régénération de la forme réduite de la vitamine E
    • contribue au fonctionnement normal du système nerveux et intervient notamment dans la neurotransmission cérébrale (23).
    • La vitamine E contribue à des fonctions psychologiques normales. Plusieurs études ont montrées que la déficit en vitamine C était très fréquent chez les sujets dépressifs (24).
    • contribue au fonctionnement normal du système immunitaire (25) pendant et après un exercice physique intense
    • accroit l’absorption de fer en favorisant l’absorption intestinale du fer par les entérocytes et son stockage (26).

L’ANC en vitamine C a été estimé à 110 mg/jour chez l’adulte (AFFSA). La dose recommandée varie dans certaines situations particulières liées à une surconsommation de cet élément, notamment les situations de stress (infection, activité physique ou intellectuelle importante, tabagisme…).
Une hypovitaminose C voire une carence est relativement fréquente en Amérique du Nord (27,28).

NUTRIPURE a choisi une forme naturelle de vitamine C, l’acide L-ascorbique, à la dose de 200mg/jour

Zoom sur le zinc

Le zinc est un oligoélément essentiel intervenant dans les grandes voies métaboliques, grâce à son rôle dans les systèmes enzymatiques.
Le zinc :

      • contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif : il intervient notamment dans la structure de la superoxyde dismutase, une enzyme importante dans la lutte contre le vieillissement cellulaire.
      • contribue à une fertilité et une reproduction normales
      • contribue à un métabolisme glucidique normal
      • contribue à la synthèse normale de l’ADN
      • contribue au maintien d’une peau, de cheveux et d’ongles normaux
      • contribue au maintien d’une ossature normale.
      • contribue au métabolisme normal des acides gras
      • contribue à une fonction cognitive normale
      • contribue au métabolisme normal de la vitamine A
      • contribue au maintien d’une vision normale
      • contribue au fonctionnement normal du système immunitaire (il permet l’activation des lymphocytes T, les globules blancs qui combattent les infections)
      • joue un rôle dans le processus de division cellulaire
      • contribue à une synthèse protéique normale
      • contribue à un métabolisme acido-basique normal
      • contribue au métabolisme normal des macronutriments
      • contribue au maintien d’un taux normal de testostérone dans le sang

La forme chimique du zinc (minérale ou organique) intervient peu dans son absorption. Le citrate de zinc semble aussi bien absorbé que le gluconate de zinc et mieux absorbé que l’oxyde de zinc (29).
La carence aigüe en zinc est rare dans les pays industrialisés, mais les déficiences faibles à modérées semblent courantes. Le déficit d’apport est lié à (i) de mauvaises habitudes alimentaires, (ii) des aliments industriels trop raffinés ou encore se voit (iii) dans les populations qui consomment d’une part peu d’aliments d’origine animale riches en zinc mais d’autre part beaucoup d’aliments riches en phytate (céréales), qui est le plus important inhibiteur de l’absorption du zinc (30). L’ANC du zinc est d’environ 12 mg chez l’adulte.

NUTRIPURE a choisi une forme de zinc bien absorbée par l’organisme, du citrate de zinc.

La synergie des vitamines du groupe B pour le maintien du métabolisme énergétique.

Les vitamines du groupe B sont essentielles aux métabolismes des protéines, des lipides et des glucides, à la production d’énergie, à l’immunité, aux fonctions cognitives. Les nombreuses recherches qui ont été réalisées au fil des années ont permis de prendre conscience de l’importance des vitamines B pour la performance sportive, principalement en raison de leurs implications dans la production d’énergie.
Les vitamines du groupe B :

      • contribue à un métabolisme énergétique normal (B1, B2, B3, B5, B6, B8, B12)
      • contribue au fonctionnement normal du système nerveux (B1, B2, B3, B6, B8, B12)
      • contribue à une fonction cardiaque normale (B1)
      • contribue au maintien d’une vision normale (B2)
      • contribue à réduire la fatigue (B2, B3, B5, B6, B9, B12)
      • contribue au maintien de globules rouges normaux (B2) et à la formation normale des globules rouges (B6, B12)
      • contribue au maintien de muqueuses normales (B2, B3, B8)
      • contribue au maintien de cheveux normaux (B8)
      • contribue au métabolisme normal du fer (B2)
      • contribue au maintien d’une peau normale (B2, B3, B8)
      • contribue à des fonctions psychologiques normales (B1, B3, B6, B8, B9, B12)
      • contribue à des performances intellectuelles normales (B5)
      • contribue au fonctionnement normal du système immunitaire (B6, B9, B12)
      • jouent un rôle dans le processus de division cellulaire (B9 et B12)
      • contribue au métabolisme normal de l’homocystéine (B6, B9 et B12). Ces vitamines contribuent à réduire le taux sanguin d’homocystéine (en la transformant en methionine), un composé dont l’excès est impliqué dans les maladies cardiovasculaires (30). Les résultats d’une méta-analyse publiée en 2002 (31) regroupant les résultats de 30 études suggèrent qu’une diminution de l’homocystéinémie de 25 % est associée à une diminution du risque de pathologie coronarienne de 11% et du risque d’accident vasculaire cérébral de 19 %; Ces résultats sont validés par d’autres robustes études (32).

La thiamine (B1)

La découverte de la vitamine B1 est associée aux recherches sur le béribéri, une maladie grave qui se manifeste par des troubles neurologiques et cardiovasculaires. Les ANC en vitamine B1 sont de 1,3 mg par jour pour les hommes et 1,1 mg par jour les femmes

La riboflavine (B2)

La riboflavine contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif. Elle participe également à la synthèse de vitamine B3 à partir du tryptophane et des formes actives de vitamine B6 et B9 Les ANC en vitamine B2 sont de 1,6 mg par jour pour les hommes et 1,5 mg par jour pour les femmes

La niacine (B3)

Elle est également appelée vitamine PP car sa carence provoque la pellagre, une maladie de peau qui peut évoluer jusqu’à la démence Les ANC en vitamine B3 sont de 14 mg par jour pour les hommes et 11 mg par jour pour les femmes

L’acide pantothénique (B5)

Les ANC en vitamine B5 sont de 5 mg par jour pour l’adulte
L’acide pantothénique contribue à la synthèse normale et au métabolisme normal des hormones stéroïdes, de la vitamine D et de certains neurotransmetteurs (comme l’acéthylcholine).

La pyridoxine (B6)

De plus La vitamine B6 contribue à réguler l’activité hormonale ainsi qu’au métabolisme normal des protéines et du glycogène Les ANC en vitamine B6 sont de 1,8 mg par jour pour les hommes et 1,5 mg par jour pour les femmes. L’utilisation thérapeutique de fortes doses de vitamine B6 serait susceptible de déclencher des neuropathies périphériques (33,34), c’est pourquoi une dose limite de sécurité est fixée en France à 5,4 mg par jour en plus de la consommation alimentaire courante. La prise de magnésium et de multivitamines conduit à un apport de 2,86 mg de vitamine B6.

La biotine (B8)

Les ANC en vitamine B8 sont de 50 μg par jour pour l’adulte.

Les folates (B9)

De plus les folates contribuent à la synthèse normale des acides aminés et sont impliqués dans la régénération cellulaire. Les folates contribuent à la croissance des tissus maternels durant la grossesse. Ils participent au fonctionnement du système nerveux et en particulier à la fermeture du tube neural pendant la grossesse, ce pourquoi une supplémentation est indiquée avant et pendant le 1er trimestre de grossesse.

A l’heure actuelle, les données scientifiques concernant la relation entre folates et cancers, sont contradictoires et méritent de plus amples études.
Le processus de carcinogénèse est complexe et il semble que l’impact de l’acide folique dépende beaucoup de la dose et du moment de l’intervention. Ce potentiel effet lié aux fortes doses d’acide folique toucherait certains segments de la population, particulièrement les sujets âgés présentant des lésions précancéreuses ou cancéreuses non diagnostiquées (35).

Les folates semblent jouer un double rôle dans le développement de cancer :
D’un côté une carence en folates peut entraîner une instabilité de l’ADN (36,37) à l’origine de lésions cancéreuses. De plus, un apport en folates légèrement supérieur à l’apport conseillé aurait un effet protecteur dans le cas du cancer colorectal (38). À l’inverse, un apport excessif en acide folique pourrait favoriser la cancérogenèse de lésions précancéreuses (39). Certaines études indiquent que l’acide folique pourrait augmenter le risque de cancer du sein (40), du côlon (35), du poumon (41). Toutefois le suivi d’une large cohorte de 525 488 individus américains montre une réduction du risque de cancer colorectal cancer pour une prise de 900μg / jour (comparé à 200μg /jour) de folates (42).

La question de l’effet des doses élevées d’acide folique se pose particulièrement pour les sujets qui consomment déjà des farines alimentaires enrichies en folates comme c’est le cas notamment aux Etats-Unis et au Canada depuis 1998 (43,44) afin de réduire l’incidence des anomalies de fermeture du tube neural.
Qu’elle que soit son origine, l’acide folique est transformé en sa forme active biologiquement, le 5-méthyletrahydrofolate (L-5-MTHF), par une cascade enzymatique. L’activité de l’enzyme qui intervient dans la conversion de l’acide folique en forme active, la MTHFR, peut être abaissée de part une mutation relativement fréquente en Europe et qui limite ses capacités (45).
L’utilisation directe de la forme biologiquement active permet d’optimiser l’efficacité de la supplémentation en folates et s’amender des aléas de la mutation de la MTHFR (46). La calcium-methylfolate (un radical Ca2+ stabilise la molécule) est métabolisée indépendamment de la MTHFR d’ou une meilleure biodisponibilité (47).

Les ANC en vitamine B9 sont de 330 μg par jour pour les hommes et 300 μg par jour pour les femmes.
NUTRIPURE a choisi une forme active de folates, du L-méthylfolate de calcium, à la dose de 200 μg /jour respectant un équilibre entre apport alimentaire et supplémentation.

Les cobalamine (B12)

La vitamine B12 n’est pas synthétisée par l’homme. La vitamine B12 se trouve dans les aliments d’origine animale: abats, fruits de mer, viandes, poissons, œufs et produits laitiers.

Les causes de déficit en vitamines B12 sont multiples (48), les plus connues sont :

      • Le syndrome de maldigestion, caractérisé par une incapacité à libérer la vitamine B12 des protéines alimentaires et/ou des protéines intestinales de transport, serait la cause la plus fréquente des déficits en vitamine B12 chez l’adulte et chez sujet âgé (49).
      • Les carences d’apports sont rares et sont principalement observées chez les végétaliens qui ne consomment aucun produit d’origine animale.
      • L’anémie de Biermer. C’est une anémie liée à un défaut en facteur intrinsèque secondaire à une inflammation de l’estomac. Le facteur intrinsèque étant nécessaire à l’absorption digestive de vitamine B12, le déficit en facteur intrinsèque entraine un déficit en vitamine B12.
      • Les malabsorptions liées à une chirurgie gastrique, une chirurgie de l’intestin grêle ou à des maladies entraînant des lésions de la muqueuse de l’intestin grêle (maladie de crohn…).
      • Les malabsorptions d’origine médicamenteuses. Les principales molécules en cause sont les contraceptifs oraux, les antisécrétoires gastrique, la metformine…
      • L’alcoolisme.
      • Certaines maladies congénitales très rares affectant le métabolisme de la vitamine B12.

La cobalamine existe sous plusieurs formes. La forme de synthèse appelée cyanocobalamine et les formes naturelles comme la méthylcobalamine, l’hydroxycobalamine et l’adénosylcobalamine.
Les ANC en vitamine B12 sont de 3 μg par jour pour un adulte jeune.
NUTRIPURE a choisi de la méthylcobalamine, une forme d’apport naturelle de la vitamine B12, qui présente une très bonne biodisponibilité (50).

LA VITAMINE D ET LE MAGNESIUM POUR LE MAINTIEN D’UNE FONCTION MUSCULAIRE ET D’UNE OSSATURE NORMALE

Zoom sur le magnésium

Le magnésium est l’un des minéraux corporels les plus abondants intervenant comme cofacteur dans plus de 300 réactions enzymatiques.
Le magnésium :

      • contribue à un métabolisme énergétique et à une synthèse protéique normale. Son déficit peut entraîner un affaiblissement général du potentiel de fonctionnement et d’adaptation qui se traduit par une fatigue générale, une tension nerveuse et musculaire et une tendance accrue au stress. L’apport de magnésium contribue à réduire la fatigue (51)
      • contribue au métabolisme osseux et au maintien d’une ossature normale (51).
      • contribue à une fonction musculaire normale (51) en intervenant dans la contraction musculaire
      • contribue à l’équilibre électrolytique
      • contribue au fonctionnement normal du système nerveux
      • contribue au maintien d’une dentition normale
      • joue un rôle dans le processus de division cellulaire
      • contribue à des fonctions psychologiques normales

La plupart des données européennes et nord-américaines indiquent que les apports alimentaires en magnésium sont souvent en deçà des apports nutritionnels recommandés.
D’après l’enquête Individuelle Nationale de Consommation Alimentaire (INCA 2) qui s’est déroulée entre 2006 et 2007 auprès de 2 624 adultes de 18 à 79 ans (52), l’apport moyen en magnésium était estimé à 292 mg par jour alors que les apports nutritionnels conseillés (ANC) étaient de 420 mg pour l’homme et 360 mg pour la femme.
Le bisglycinate est un magnésium de 3ème génération, qui présente une bonne biodisponibilité du fait de son association à la glycine, un acide aminé sous sa forme chélatée. Du fait de sa grande absorption, les effets secondaires laxatifs sont limités. Le bisglycinate de magnésium contient 20% de magnésium élément.
L’absorption du magnésium et sa biodisponibilité dépendent de nombreux facteurs, comme le type de magnésium utilisé et la présence d’autres nutriments qui interfèrent avec sa captation (55). Le magnésium à la vitamine B6, connue depuis longtemps comme magnésiofixateur mais dont la quantité doit restée modérée (56).

Nutripure a choisi un magnésium de 3ème génération connu pour sa bonne biodisponibilité, du bisglycinate de magnésium, associé à de la vitamine B6 qui augmente l’absorption de magnésium par la cellule. La prise quotidienne de 2 gélules/jour apporte 625mg de bisglycinate de magnésium soit 125 mg de magnésium élément.

Zoom sur La vitamine D

La vitamine D possède une double origine : une partie est apportée par l’alimentation (environ 10-20%) et l’autre partie est produite par notre organisme au niveau de la peau sous l’action des rayons solaires ou ultraviolets (61). La synthèse cutanée est la principale source de vitamine D mais dépend de nombreux facteurs, très variables d’un individu à l’autre, comme le temps passé à l’extérieur, la saison, la latitude, la couleur de peau, l’âge et les facteurs socio-culturels. La vitamine D fabriquée par la peau est mise en réserve au niveau du foie, du muscle et du tissu gras et utilisée par l’organisme au cours des périodes hivernales.

La vitamine D :

      • contribue à l’absorption et à l’utilisation normale du calcium et du phosphore ainsi qu’une maintien d’une ossature normale. De nombreuses études à travers le monde ont montré que la plupart des sportifs étaient carencés en vitamine D (57–60). La restauration d’un taux optimal en vitamine D chez le sportif peut réduire la survenue de fractures de stress (61,62) et ainsi influencer les performances en prévenant les blessures (63). au maintien au maintien d’une fonction musculaire normale car les cellules musculaires possèdent des récepteurs à la vitamine D activée (64). On observe une diminution des performances physiques des sujets âgés ayant une déficience en vitamine D. Plusieurs études ont montré qu’une supplémentation en vitamine D améliorait les performances musculaires de sujets âgé carencés (64). Cet effet bénéfique pourrait être lié d’une part à un effet direct sur la taille des fibres musculaires de type 2 et d’autre part à l’activation d’une cascade qui maintien le taux de calcium à l’intérieur de la cellule (65), nécessaire à la contraction musculaire.
      • contribue au fonctionnement normal du système immunitaire (66)
      • contribue au processus de division cellulaire
      • contribue au maintien d’une dentition normale

 

L’insuffisance en vitamine D est très fréquente : de 50 à 100% individus sont touchés à des latitudes supérieures à 40° (Europe par exemple) et suivant les populations étudiées et la période de l’année (67,68). Les ANC proposés par l’AFSSA, de l’ordre de 200 à 400 UI/j (5 à 10 µg/j), semblent insuffisants pour atteindre un taux sanguin correct en vitamine D. En effet ces ANC ont été établis sous l’hypothèse que la population était normalement exposée au soleil et que la production cutanée couvrait une bonne partie des besoins quotidiens totaux en vitamine D. L’EFSA (L’Autorité européenne de sécurité des aliments) en 2016 considère qu’un apport adéquat chez l’adulte devrait être de 600 UI/j, soit 15 μg/j (65).

Deux formes de vitamine D existent : la vitamine D2 ou ergocalciférol et la vitamine D3 ou cholécalciférol. Ces deux formes sont converties via le foie et les reins en 1,25-dihydroxyvitamine D pour être active mais la vitamine D3 présente une meilleure efficacité que la D2 pour augmenter le taux sanguin de vitamine D (69,70). Les différents paramètres pouvant expliquer la supériorité de la vitamine D3 sont les suivants:

      • une très bonne affinité entre la vitamine D3 et sa molécule de transport
      • une durée de vie dans l’organisme supérieure pour la vitamine D3
      • une très bonne affinité pour l’enzyme qui convertit la vitamine D en sa forme active
      • une très bonne affinité entre la vitamine D3 et son récepteur

 

La vitamine D3 représente la forme la mieux appropriée pour une supplémentation.

NUTRIPURE a choisi une forme efficace de vitamine D, la vitamine D3 ou cholécalciférol, à la dose de 25μg/jour soit 1000UI/jour

Zoom sur la lutéine

La lutéine et la zéaxanthine sont des pigments jaunes naturels qui appartiennent à la famille des caroténoïdes comme le β-carotène. Ils se concentrent dans la rétine, plus précisément dans la macula. Le pigment maculaire contribue à protéger la rétine par la filtration de la lumière bleue hautement énergétique et par ses propriétés chimiques antioxydantes. Le risque de dégénérescence maculaire lié à l’âge (DMLA) semble accru si ce pigment se trouve en concentration insuffisante (71). A ce jour, un faisceau d’arguments suggère un rôle de la consommation de ces pigments dans la prévention de la DMLA (72).
NUTRIPURE a choisi une forme naturelle de lutéine, un extrait de tagete erecta (rose d’inde) qui contribue à améliorer l’acuité visuelle grâce à la dose de 13,5mg / jour de lutéine.

Zoom sur l’acide α-lipoïque

L’acide alpha-lipoïque, également appelé acide thioctique, a longtemps été considéré comme une vitamine. En fait, cette substance est le coenzyme de plusieurs enzymes clés du métabolisme et participe à certaines réactions chimiques nécessaires pour fournir de l’énergie aux cellules.

Zoom sur la coenzyme Q10

Ubiquitaire, c’est à dire présente dans toutes les cellules de l’organisme, la coenzyme Q10 est aussi appelée ubiquinone. La coenzyme Q10 possède de nombreuses propriétés et joue notamment un rôle clé dans le fonctionnement des mitochondries. Les besoins nutritionnels journaliers ne sont pas définis. L’Afssa (73) considère néanmoins que la dose de 30 mg par jour de coenzyme Q10 est considérée comme sans risque à l’exception des sujets traités par des anticoagulants (antivitamines K).
Nutripure a choisi une forme naturelle de coenzyme Q10 fabriquée par simple fermentation de souches « Rhodobacter sphaeroides »

Zoom sur la quercétine

La quercétine est un flavonol de la famille des flavonoïdes contenu en quantité notable dans le thé, la pomme, les oignons, suivis du vin rouge, du brocoli, des agrumes et des fruits rouges en général. La supplémentation en quercétine chez les sportifs semble avoir un effet sur le stress oxydant et les performances physiques (74). L’effet bénéfique de la quercétine sur les performances physiques semble très encourageant mais la preuve scientifique est limitée par un manque de publications de qualité. Les premiers travaux concernant la supplémentation en quercétine chez l‘homme ont été mené en 2006. Une étude menée chez des cyclistes professionnels a montré qu’une supplémentation en antioxydant avec notamment 1200mg par jour de quercétine pendant 6 semaines améliorait leurs performances (75). Davis et al (76) ont montrés en 2010 qu’une supplémentation de 1000mg par jour de quercétine améliorait la VO2max de 3,9% (capacité de l’organisme à extraire l’oxygène de l’air) et rallonge le temps d’apparition de la fatigue de 13,2%.

Zoom sur l’iode

L’iode est un oligoélément indispensable à l’organisme. Certains aliments contiennent naturellement de l’iode comme les fruits de mer, les poissons et certaines algues. la principale source alimentaire reste le lait et les produits laitiers transformés. La teneur en iode de ces aliments – qui n’en contiennent pas naturellement- est liée à l’emploi de fertilisants riches en iode sur les pâturages et à l’usage d’antiseptiques riches en iode utilisés au moment de la traite. L’ajout d’iode dans le sel de table est depuis de nombreuses années très utilisé dans de nombreux pays comme la France et les États-Unis afin d’éliminer les carences en iode responsable d’un goitre correspondant au grossissement de la glande thyroïde au niveau du cou. L’iode contribue:

      • contribue au maintien d’une peau normale
      • contribue à une fonction cognitive normale
      • contribue au fonctionnement normal du système nerveux
      • contribue à un métabolisme énergétique normal
      • contribue à la production normale d’hormones thyroïdiennes et à une fonction thyroïdienne normale. L’iode joue un rôle majeur dans le métabolisme des hormones thyroïdiennes dont il est un composant essentiel. Jusqu’à la fin du 19ème siècle, la carence iodée était un problème majeur de santé publique en Europe, principalement dans les zones montagneuses où la consommation de produits de la mer était insuffisante. Cette carence était responsable de nombreux goitres, de retard mental et de retard de croissance par hypothyroïdie congénitale (77). Des années plus tard, un médecin suisse montre que l’iode en goutte est efficace pour le traitement des goitres.
      • contribue à la croissance normale des enfants

 

L’ANC en iode est de 150µg/jour. Une étude récente a montré que des patientes qui suivent un régime « paléo » (notamment sans sel) ou sans produits laitiers, présentaient un risque élevé de carence en iode (78). NUTRIPURE a choisi un apport de 75µg/jour de iodure de potassium.

 

1. Halliwell B. Biochemistry of oxidative stress. Biochem Soc Trans. nov 2007;35(Pt 5):1147‑50.

2. O’Neill CA, Stebbins CL, Bonigut S, Halliwell B, Longhurst JC. Production of hydroxyl radicals in contracting skeletal muscle of cats. J Appl Physiol Bethesda Md 1985. sept 1996;81(3):1197‑206.

3. Favier A. Le stress oxydant – Intérêt conceptuel et expérimental dans la compréhension des mécanismes des maladies et potentiel thérapeutique. Actual Chim. 2003;108‑15.

4. Monget AL, Richard MJ, Cournot MP, Arnaud J, Galan P, Preziosi P, et al. Effect of 6 month supplementation with different combinations of an association of antioxidant nutrients on biochemical parameters and markers of the antioxidant defence system in the elderly. The Geriatrie/Min.Vit.Aox Network. Eur J Clin Nutr. juill 1996;50(7):443‑9.

5. Burton GW, Ingold KU. beta-Carotene: an unusual type of lipid antioxidant. Science. 11 mai 1984;224(4649):569‑73.

6. Levin G, Mokady S. Antioxidant activity of 9-cis compared to all-trans beta-carotene in vitro. Free Radic Biol Med. juill 1994;17(1):77‑82.

7. Ben-Amotz A, Levy Y. Bioavailability of a natural isomer mixture compared with synthetic all-trans beta-carotene in human serum. Am J Clin Nutr. mai 1996;63(5):729‑34.

8. Albanes D, Heinonen OP, Taylor PR, Virtamo J, Edwards BK, Rautalahti M, et al. Alpha-Tocopherol and beta-carotene supplements and lung cancer incidence in the alpha-tocopherol, beta-carotene cancer prevention study: effects of base-line characteristics and study compliance. J Natl Cancer Inst. 6 nov 1996;88(21):1560‑70.

9. Omenn GS, Goodman GE, Thornquist MD, Balmes J, Cullen MR, Glass A, et al. Risk factors for lung cancer and for intervention effects in CARET, the Beta-Carotene and Retinol Efficacy Trial. J Natl Cancer Inst. 6 nov 1996;88(21):1550‑9.

10. Traber MG. Heart disease and single-vitamin supplementation. Am J Clin Nutr. janv 2007;85(1):293S‑299S.

11. EFSA Panel on Dietetic Products N and Allergies (NDA). Scientific Opinion on Dietary Reference Values for vitamin E as α-tocopherol. EFSA J. juill 2015;13(7):n/a-n/a.

12. Institute of Medicine (US) Panel on Dietary Antioxidants and Related Compounds. Dietary Reference Intakes for Vitamin C, Vitamin E, Selenium, and Carotenoids. Washington (DC): National Academies Press (US); 2000

13. Gaur S, Kuchan MJ, Lai C-S, Jensen SK, Sherry CL. Supplementation with RRR- or all-rac-α-Tocopherol Differentially Affects the α-Tocopherol Stereoisomer Profile in the Milk and Plasma of Lactating Women. J Nutr. juill 2017;147(7):1301‑7.

14. Acuff RV, Thedford SS, Hidiroglou NN, Papas AM, Odom TA. Relative bioavailability of RRR- and all-rac-alpha-tocopheryl acetate in humans: studies using deuterated compounds. Am J Clin Nutr. sept 1994;60(3):397‑402.

15. Comitato R, Ambra R, Virgili F. Tocotrienols: A Family of Molecules with Specific Biological Activities. Antioxid Basel Switz. nov 2017;6(4).

16. Jiang Q, Christen S, Shigenaga MK, Ames BN. gamma-tocopherol, the major form of vitamin E in the US diet, deserves more attention. Am J Clin Nutr. déc 2001;74(6):714‑22.

17. Christen S, Woodall AA, Shigenaga MK, Southwell-Keely PT, Duncan MW, Ames BN. γ-Tocopherol traps mutagenic electrophiles such as NOx and complements α-tocopherol: Physiological implications. Proc Natl Acad Sci U S A. 1 avr 1997;94(7):3217‑22.

18. What we eat in America, NHANES 2001-2002 : Usual nutrient intakes from food compared to dietary reference intakes. United States Department of Agriculture. Disponible sur: https://www.ars.usda.gov/ARSUserFiles/80400530/pdf/0102/usualintaketables2001-02.pdf

19. Maras JE, Bermudez OI, Qiao N, Bakun PJ, Boody-Alter EL, Tucker KL. Intake of alpha-tocopherol is limited among US adults. J Am Diet Assoc. avr 2004;104(4):567‑75.

20. Schomburg L, Köhrle J. On the importance of selenium and iodine metabolism for thyroid hormone biosynthesis and human health. Mol Nutr Food Res. nov 2008;52(11):1235‑46.

21. Césarini J-P. Le sélénium: actualités. John Libbey Eurotext; 2004. 166 p.

22. Li Y, Schellhorn HE. New developments and novel therapeutic perspectives for vitamin C. J Nutr. oct 2007;137(10):2171‑84.

23. Kocot J, Luchowska-Kocot D, Kiełczykowska M, Musik I, Kurzepa J. Does Vitamin C Influence Neurodegenerative Diseases and Psychiatric Disorders? Nutrients. juin 2017;9(7).

24. Gariballa S. Poor vitamin C status is associated with increased depression symptoms following acute illness in older people. Int J Vitam Nutr Res Int Z Vitam- Ernahrungsforschung J Int Vitaminol Nutr. 2014;84(1‑2):12‑7.

25. Carr AC, Maggini S. Vitamin C and Immune Function. Nutrients. 3 nov 2017;9(11).

26. Lane DJR, Jansson PJ, Richardson DR. Bonnie and Clyde: Vitamin C and iron are partners in crime in iron deficiency anaemia and its potential role in the elderly. Aging. mai 2016;8(5):1150‑2.

27. Schleicher RL, Carroll MD, Ford ES, Lacher DA. Serum vitamin C and the prevalence of vitamin C deficiency in the United States: 2003-2004 National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES). Am J Clin Nutr. nov 2009;90(5):1252‑63.

28. Second National Report on Biochemical Indicators of Diet and Nutrition in the U.S. Population -2012- National Center for Environmental Health. Disponible sur: https://www.cdc.gov/nutritionreport/pdf/exesummary_web_032612.pdf

29. Siepmann M, Spank S, Kluge A, Schappach A, Kirch W. The pharmacokinetics of zinc from zinc gluconate: a comparison with zinc oxide in healthy men. Int J Clin Pharmacol Ther. déc 2005;43(12):562‑5.

30. Lönnerdal B. Dietary factors influencing zinc absorption. J Nutr. mai 2000;130(5S Suppl):1378S‑83S.

31. Homocysteine Studies Collaboration. Homocysteine and risk of ischemic heart disease and stroke: a meta-analysis. JAMA. oct 2002;288(16):2015‑22.

32. Li Y, Huang T, Zheng Y, Muka T, Troup J, Hu FB. Folic Acid Supplementation and the Risk of Cardiovascular Diseases: A Meta-Analysis of Randomized Controlled Trials. J Am Heart Assoc. août 2016;5(8).

33. Dalton K, Dalton MJ. Characteristics of pyridoxine overdose neuropathy syndrome. Acta Neurol Scand. juill 1987;76(1):8‑11.

34. Sensory neuropathy from pyridoxine abuse. N Engl J Med. janv 1984;310(3):197‑8.

35. E. Georg Luebeck, Suresh H. Moolgavkar, Amy Y. Liu, Alanna Boynton, Cornelia M. Ulrich. Does Folic Acid Supplementation Prevent or Promote Colorectal Cancer? Results from Model-Based Predictions. Cancer Epidemiol Biomark Prev. juin 2008;

36. Wickramasinghe SN, Fida S. Bone marrow cells from vitamin B12- and folate-deficient patients misincorporate uracil into DNA. Blood. mars 1994;83(6):1656‑61.

37. Kim YI, Shirwadkar S, Choi SW, Puchyr M, Wang Y, Mason JB. Effects of dietary folate on DNA strand breaks within mutation-prone exons of the p53 gene in rat colon. Gastroenterology. juill 2000;119(1):151‑61.

38. Kim D-H, Smith-Warner SA, Spiegelman D, Yaun S-S, Colditz GA, Freudenheim JL, et al. Pooled analyses of 13 prospective cohort studies on folate intake and colon cancer. Cancer Causes Control CCC. nov 2010;21(11):1919‑30.

39. Song J, Medline A, Mason JB, Gallinger S, Kim YI. Effects of dietary folate on intestinal tumorigenesis in the apcMin mouse. Cancer Res. oct 2000;60(19):5434‑40.

40. Stolzenberg-Solomon RZ, Chang S-C, Leitzmann MF, Johnson KA, Johnson C, Buys SS, et al. Folate intake, alcohol use, and postmenopausal breast cancer risk in the Prostate, Lung, Colorectal, and Ovarian Cancer Screening Trial. Am J Clin Nutr. avr 2006;83(4):895‑904.

41. Ebbing M, Bønaa KH, Nygård O, Arnesen E, Ueland PM, Nordrehaug JE, et al. Cancer incidence and mortality after treatment with folic acid and vitamin B12. JAMA. nov 2009;302(19):2119‑26.

42. Gibson TM, Weinstein SJ, Pfeiffer RM, Hollenbeck AR, Subar AF, Schatzkin A, et al. Pre- and postfortification intake of folate and risk of colorectal cancer in a large prospective cohort study in the United States. Am J Clin Nutr. oct 2011;94(4):1053‑62.

43. US Department of Health and Human Services Food and Drug Administration. Food standards: amendment of the standards of identity for enriched grain product to require addition of folic acid. Fed Regist; 1996.

44. Health Canada. Regulations amending the Food and Drug Regulations (1066). Can Gaz Part 1; 1997.

45. Prinz-Langenohl R, Brämswig S, Tobolski O, Smulders YM, Smith DEC, Finglas PM, et al. [6S]-5-methyltetrahydrofolate increases plasma folate more effectively than folic acid in women with the homozygous or wild-type 677C–>T polymorphism of methylenetetrahydrofolate reductase. Br J Pharmacol. déc 2009;158(8):2014‑21.

46. Lamers Y, Prinz-Langenohl R, Brämswig S, Pietrzik K. Red blood cell folate concentrations increase more after supplementation with [6S]-5-methyltetrahydrofolate than with folic acid in women of childbearing age. Am J Clin Nutr. juill 2006;84(1):156‑61.

47. Houghton LA, Sherwood KL, Pawlosky R, Ito S, O’Connor DL. [6S]-5-Methyltetrahydrofolate is at least as effective as folic acid in preventing a decline in blood folate concentrations during lactation. Am J Clin Nutr. avr 2006;83(4):842‑50.

48. Stabler SP. Clinical practice. Vitamin B12 deficiency. N Engl J Med. 10 janv 2013;368(2):149‑60.

49. Andrès E, Noël E, Maloisel F, Affenberger S, Kaltenbach G. Les carences en vitamine B12 et leur traitement. Médecine Thérapeutique. 1 mars 2004;10(2):92‑8.

50. Paul C, Brady DM. Comparative Bioavailability and Utilization of Particular Forms of B12 Supplements With Potential to Mitigate B12-related Genetic Polymorphisms. Integr Med Clin J. févr 2017;16(1):42‑9.

51. Règlement (UE) n ° 432/2012 de la Commission du 16 mai 2012 établissant une liste des allégations de santé autorisées portant sur les denrées alimentaires, autres que celles faisant référence à la réduction du risque de maladie ainsi qu’au développement et à la santé infantiles Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE. OJ L, 32012R0432 mai 25, 2012. Disponible sur: http://data.europa.eu/eli/reg/2012/432/oj/fra

52. https://www.anses.fr/fr/content/inca-2-les-r%C3%A9sultats-dune-grande-%C3%A9tude. 2009.

53. Schuette SA, Lashner BA, Janghorbani M. Bioavailability of magnesium diglycinate vs magnesium oxide in patients with ileal resection. JPEN J Parenter Enteral Nutr. oct 1994;18(5):430‑5.

54. Walker AF, Marakis G, Christie S, Byng M. Mg citrate found more bioavailable than other Mg preparations in a randomised, double-blind study. Magnes Res. sept 2003;16(3):183‑91.

55. Schuchardt JP, Hahn A. Intestinal Absorption and Factors Influencing Bioavailability of Magnesium-An Update. Curr Nutr Food Sci. nov 2017;13(4):260‑78.

56. Sensory neuropathy from pyridoxine abuse. N Engl J Med. 19 janv 1984;310(3):197‑8.

57. Maroon JC, Mathyssek CM, Bost JW, Amos A, Winkelman R, Yates AP, et al. Vitamin D profile in National Football League players. Am J Sports Med. mai 2015;43(5):1241‑5.

58. Farrokhyar F, Tabasinejad R, Dao D, Peterson D, Ayeni OR, Hadioonzadeh R, et al. Prevalence of vitamin D inadequacy in athletes: a systematic-review and meta-analysis. Sports Med Auckl NZ. mars 2015;45(3):365‑78.

59. Sghaier-Ayadi A, Feki M, Ayed IB-B, Abene O, Fredj MB, Kaabachi K, et al. Vitamin D status and determinants of deficiency in non-supplemented athletes during the winter months in Tunisia. Biol Sport. nov 2015;32(4):281‑7.

60. Wentz LM, Liu P-Y, Ilich JZ, Haymes EM. Female Distance Runners Training In Southeastern United States Have Adequate Vitamin D Status. Int J Sport Nutr Exerc Metab. oct 2016;26(5):397‑403.

61. Välimäki V-V, Alfthan H, Lehmuskallio E, Löyttyniemi E, Sahi T, Stenman U-H, et al. Vitamin D status as a determinant of peak bone mass in young Finnish men. J Clin Endocrinol Metab. janv 2004;89(1):76‑80.

62. Lappe J, Cullen D, Haynatzki G, Recker R, Ahlf R, Thompson K. Calcium and vitamin d supplementation decreases incidence of stress fractures in female navy recruits. J Bone Miner Res Off J Am Soc Bone Miner Res. mai 2008;23(5):741‑9.

63. Ogan D, Pritchett K. Vitamin D and the Athlete: Risks, Recommendations, and Benefits. Nutrients. mai 2013;5(6):1856‑68.

64. Bischoff HA, Stähelin HB, Dick W, Akos R, Knecht M, Salis C, et al. Effects of vitamin D and calcium supplementation on falls: a randomized controlled trial. J Bone Miner Res Off J Am Soc Bone Miner Res. févr 2003;18(2):343‑51.

65. Ceglia L. Vitamin D and skeletal muscle tissue and function. Mol Aspects Med. déc 2008;29(6):407‑14.

66. Autier P, Mullie P, Macacu A, Dragomir M, Boniol M, Coppens K, et al. Effect of vitamin D supplementation on non-skeletal disorders: a systematic review of meta-analyses and randomised trials. Lancet Diabetes Endocrinol. déc 2017;5(12):986‑1004.

67. Chapuy MC, Preziosi P, Maamer M, Arnaud S, Galan P, Hercberg S, et al. Prevalence of vitamin D insufficiency in an adult normal population. Osteoporos Int J Establ Result Coop Eur Found Osteoporos Natl Osteoporos Found USA. 1997;7(5):439‑43.

68. Glerup H, Mikkelsen K, Poulsen L, Hass E, Overbeck S, Thomsen J, et al. Commonly recommended daily intake of vitamin D is not sufficient if sunlight exposure is limited. J Intern Med. févr 2000;247(2):260‑8.

69. Trang HM, Cole DE, Rubin LA, Pierratos A, Siu S, Vieth R. Evidence that vitamin D3 increases serum 25-hydroxyvitamin D more efficiently than does vitamin D2. Am J Clin Nutr. oct 1998;68(4):854‑8.

70. Armas LAG, Hollis BW, Heaney RP. Vitamin D2 is much less effective than vitamin D3 in humans. J Clin Endocrinol Metab. nov 2004;89(11):5387‑91.

71. Avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail relatif au risque de toxidermie induit par la consommation de lutéine et de zéaxanthine dans les compléments alimentaires- Anses – Saisine n° 2010-SA-0242. Disponible sur: https://www.anses.fr/fr/system/files/NUT2010sa0242.pdf

72. Berrow EJ, Bartlett HE, Eperjesi F, Gibson JM. The effects of a lutein-based supplement on objective and subjective measures of retinal and visual function in eyes with age-related maculopathy — a randomised controlled trial. Br J Nutr. juin 2013;109(11):2008‑14.

73. Avis de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments sur un projet d’arrêté relatif à l’emploi de substances à but nutritionnel ou physiologique et de plantes et préparations de plantes dans la fabrication de compléments alimentaires- Afssa – Saisine n° 2007-SA-0231. Disponible sur: https://www.anses.fr/fr/system/files/NUT2007sa0231q.pdf

74. Nieman DC, Laupheimer MW, Ranchordas MK, Burke LM, Stear SJ, Castell LM. A-Z of nutritional supplements: dietary supplements, sports nutrition foods and ergogenic aids for health and performance–Part 33. Br J Sports Med. juin 2012;46(8):618‑20.

75. MacRae HSH, Mefferd KM. Dietary antioxidant supplementation combined with quercetin improves cycling time trial performance. Int J Sport Nutr Exerc Metab. août 2006;16(4):405‑19.

76. Davis JM, Carlstedt CJ, Chen S, Carmichael MD, Murphy EA. The dietary flavonoid quercetin increases VO(2max) and endurance capacity. Int J Sport Nutr Exerc Metab. févr 2010;20(1):56‑62.

77. Velasco I, Bath SC, Rayman MP. Iodine as Essential Nutrient during the First 1000 Days of Life. Nutrients. 1 mars 2018;10(3).

78. Manousou S, Stål M, Larsson C, Mellberg C, Lindahl B, Eggertsen R, et al. A Paleolithic-type diet results in iodine deficiency: a 2-year randomized trial in postmenopausal obese women. Eur J Clin Nutr. janv 2018;72(1):124‑9.

Disponible à la demande

Description

VOTRE ALLIÉ AU QUOTIDIEN, SANS CONCESSIONS

Nutripure vous propose un multivitamines dont les matières premières sont de grande qualité.
Malheureusement, les sols appauvris par l’agriculture intensive diminuent nos apports en nutriments. Notre corps se fatigue plus vite.
Dans le même temps, nos besoins sont accrus par l’hyperstimulation du monde qui nous entoure. Un apport en vitamines et minéraux est nécessaire au quotidien.
Grâce à ses vitamines et minéraux d’excellente qualité, notre multivitamines agira notamment sur votre métabolisme énergétique, sur vos muscles et votre ossature.
Il possède une action antioxydante sur votre organisme pour lutter contre le stress oxydatif.
Alors n’attendez pas que la fatigue soit là.
Remarque du coach : si l’on combine le fait que l’apport des Français en micronutriments est relativement bas et que les dépenses des sportifs sont hautes, cela nous rend encore plus demandeurs. Il est alors intéressant de se supplémenter en multivitamines d’autant plus si on est sportif. Si vous considérez que votre alimentation est pauvre en magnésium nous vous conseillons d’également vous supplémenter en magnésium, en plus de ce produit.

*Attention une alimentation variée est nécessaire à notre santé.

Évaluation

Il n'y a pas encore d'évaluation.

Soyez le premier à évaluer “MULTIVITAMINES – Un indispensable”